GFI Coeur Forest

  • Groupement forestier d'investissement à capital variable
  • Réduction d'impôt sur le revenu à la souscription Open
  • Exonération d'IFI Open
  • Exonération des droits de donation et de succession Open
  • Classe d'actif originale et fiscalement attractive
  • Gérée par Sogenial Immobilier

GFI CoeurForest : les atouts pour un investissement attractif dans les forêts

  1. Un Investissement abordable

    Souscription accessible dès 1 000 €

  2. Une thématique porteuse de sens

    Des forêts gérées par une équipe aguerrie, passionnée

  3. Des principes de gestion éprouvés

    Diversification des forêts, adaptation au changement climatique, rationalisation de la gestion, assurance anti-incendie-tempête...

  4. Une fiscalité favorable

    Dans le cadre du dispositif Madelin, à hauteur 25% des versements dans la limite de 50 000€ pour un célibataire et 100 000€ pour un couple, soit des réductions respectives de 9 000 et 18 000 €

  5. Une diversification géographique des forêts

    Pour répartir au mieux les risques qui leur sont attachés

  6. Une exonération d'IFI et une fiscalité sur les revenus attrayante

    Pas d'IFI pour l’associé qui détient moins de 10 % du capital : l’associé n’est pas imposé sur le dividende qu’il perçoit, mais pour sa fraction détenue dans le capital social.

Pourquoi investir dans le GFI CoeurForest ?

Le GFI, un support d’investissement :    
  • Diversifié : plusieurs forêts dans des zones géographiques différentes, faites d’essences et de maturités différentes.
  • Accessible au plus grand nombre (souscription à partir de 1 000 €, soit 5 parts), contrairement à l’achat d’une forêt en pleine propriété.
  • Simple : le GFI s’occupe de tout, c'est-à-dire trouver des forêts, les sélectionner, les acquérir, les gérer et les optimiser dans le temps de manière durable.
   

GFI CoeurForest

 

Devenir associé du GFI CoeurForest

  • Minimum de souscription : 5 parts soit 1 000 €
  • Durée de placement recommandée : 10 ans minimum
  • Prix de souscription à l’origine : 200 € TTC par part (commission de souscription incluse)
  • Distribution potentielle de revenus : un dividende annuel pourra être versé en fonction des résultats annuels du GFI et des décisions des associés en Assemblée Générale
  • Frais de gestion : 0,95% HT par an, soit 1,14% TTC par an, étant entendu que le GFI récupère la TVA.
 

Quelles sont les limites de ce placement ?

  • Risque de perte en capital

    Celui-ci n'est pas garanti

  • Risques naturels

    Incendie, tempête, etc.

  • La faculté d’endettement et ses conséquences

    Le coût du crédit et la capacité de remboursement

  • La période de détention recommandée est de 10 ans

Pourquoi investir dans le GFI CoeurForest ?

Le GFI, un support d’investissement :    
  • Diversifié : plusieurs forêts dans des zones géographiques différentes, faites d’essences et de maturités différentes.
  • Accessible au plus grand nombre (souscription à partir de 1 000 €, soit 5 parts), contrairement à l’achat d’une forêt en pleine propriété.
  • Simple : le GFI s’occupe de tout, c'est-à-dire trouver des forêts, les sélectionner, les acquérir, les gérer et les optimiser dans le temps de manière durable.
   

GFI CoeurForest

 

Devenir associé du GFI CoeurForest

  • Minimum de souscription : 5 parts soit 1 000 €
  • Durée de placement recommandée : 10 ans minimum
  • Prix de souscription à l’origine : 200 € TTC par part (commission de souscription incluse)
  • Distribution potentielle de revenus : un dividende annuel pourra être versé en fonction des résultats annuels du GFI et des décisions des associés en Assemblée Générale
  • Frais de gestion : 0,95% HT par an, soit 1,14% TTC par an, étant entendu que le GFI récupère la TVA.
 
JEREMY
L’avis du comité de sélection de bienprévoir.fr

Cœur Forest se veut transparent et accessible pour permettre à chaque investisseur de contribuer à la protection de la forêt


Un investissement de diversification dans un actif réel, décorrélé des marchés

Un actif réel et vivant :

 

  • La forêt est un actif réel, tangible et surtout vivant, ce qui la rend unique et attractive en tant qu’investissement : les associés ont la possibilité de s’y rendre, la visiter, la voir évoluer, changer avec les saisons et grandir.
  • Cela crée également pour le GFI une responsabilité : celle de protéger la forêt et la gérer durablement pour le compte des investisseurs.

 

Un actif de diversification, décorrélé des marchés financiers :

 

  • Diversification : investir dans des parts de GFI permet de diversifier ses investissements avec un actif différent, dont le risque est distinct de celui des marchés financiers.
  • Décorrélation des marchés : on peut observer que le prix moyen de l’hectare de forêt en France a été relativement peu impacté ces 20 dernières années par des événements survenus sur les marchés financiers (crise des Subprimes en 2008, par exemple). Le prix de l’hectare de forêt présente une moindre sensibilité aux événements susceptibles d’affecter les marchés financiers.

 

La fiscalité

La rentabilité de l’investissement en forêt est limitée par les contraintes biologiques de croissance du bois, les contraintes relatives aux spécificités de la gestion forestière et le temps long dans lequel elle s’inscrit. Ces spécificités ont conduit le législateur à soutenir l’investissement forestier grâce à trois piliers fiscaux particuliers.

 

Réduction d’impôt sur le revenu de 25% :

 

  • Réduction d’IR de 25% du montant investi dans la limite d’une souscription de 50 000 euros pour un célibataire et de 100 000 euros pour un couple, soit une réduction d’impôts de 12 500 et 25 000 euros maximum, en fonction de l’utilisation faite du plafond de niches fiscales. En effet, cette réduction est soumise au plafonnement global des niches fiscales de 10 000 euros par an.
  • Afin d’obtenir cet avantage, le souscripteur s’engage à conserver les parts ouvrant droit au crédit d’impôt (jusqu’à la fin de 5ème année qui suit celle de la souscription) et à prendre un risque de perte en capital.

 

Exonération à 75% de droits de succession & donation :

 

  • Pas de limite de montant.
  • Pas de contrainte de durée minimale de détention avant la transmission ou la donation si les parts souscrites sont nouvelles. En revanche, il existe une contrainte de détention de 2 ans minimum si les parts souscrites sont existantes (marché secondaire).
  • L’exonération s’applique sur la valeur des forêts françaises détenues par le GFI, ce qui exclut la trésorerie du GFI.
  • Afin d’obtenir cet avantage, le GFI s’engage à une gestion durable des forêts qui implique, d’après le Code forestier, la mise en place d’un plan simple de gestion.

 

Exonération à 100% d’IFI :

 

  • Pas de limite de montant.
  • Pas de limite de détention minimale des parts : le montant souscrit n’entre pas dans l’assiette de l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI).
  • Cette exonération n’est toutefois valable qu’à condition de détenir moins de 10% des parts et des droits de vote du GFI et d’être exposé à un risque de perte en capital.

 

 

Notre infographie sur l'investissement forestier

 

Le plan d'action du GFI CoeurForest

  • Acquérir des massifs forestiers, mais aussi des parcelles à boiser ou des terrains à reboiser, les gérer durablement (certification PEFC et/ou FSC) et optimiser la séquestration de CO2 quand cela est possible.
  • Un Conseil Scientifique a été mis en place. Il est composé de personnalités de premier plan, notamment dans le domaine de la préservation de la Nature, du changement climatique et des enjeux forestiers. Le Conseil Scientifique a pour mission d’orienter des travaux et de formuler des recommandations sur la forêt, sa gestion, ses vertus, les risques qu’elle encourt et les façons de juguler ces derniers.
  • Anticiper les évolutions à venir de la forêt en effectuant un travail de veille constant et, le cas échéant, un travail d’innovation ou d’amélioration des techniques sylvicoles.

 

Politique d'investissement et objectifs de gestion

Sélection exigeante :

Les forêts du GFI CoeurForest font l’objet d’une sélection exigeante, tant en termes de qualité que de
potentiel :

 

  • Station forestière : pédologie, pluviométrie, orientation,accessibilité, étude bioclimatique et de la
    biodiversité des sols.
  • Essences forestières en présence, adaptées au milieu.
  • Etat phytosanitaire, résilience des arbres.
  • Terres en friches à reboiser : afin de favoriser une plus grande séquestration de CO2.

 

Diversification multicritères :

Le GFI CoeurForest cherche à diversifier les types de massifs forestiers qu’il acquiert, en termes de :

 

  • Géographie : principalement en France, ou dans les pays de l’Union Européenne, qui sont également membres de l’OCDE.
  • Equilibre entre feuillus et résineux (objectif 50%chacun).
  • Maturités avec un mix de plantation, de petit, moyen et gros bois.
  • Type de peuplements (plantation, taillis sous futaie, futaie irrégulière et futaie régulière).

 

Obligations réglementaires de gestion :

 

  • La mise en place d’un plan simple de gestion pour chaque forêt, prévoyant les prélèvements et travaux forestiers sur un horizon de 20 à 30 ans.
  • Une contre-expertise systématique par un expertforestier indépendant à chaque acquisition de
    forêt.
  • Assurance en responsabilité civile pour toutes les parcelles.

 

Bonnes pratiques de gestion :

 

  • Une certification PEFC et/ou FSC attestant de la durabilité de la gestion des forêts du GFI.
  • Un bilan carbone pour mesurer les bénéfices que procure chaque forêt du GFI et pour avoir un scénario de référence en vue de favoriser la séquestration de CO2.
  • La préservation de l’emploi local : recours prioritaire aux acteurs locaux de la filière bois.
  • Une protection de la biodiversité des forêts du GFI, par exemple via la réintroduction d’essencesendémiques, l’amélioration génétique ou la préservation des micro-habitats.
  • Une limitation des coupes rases uniquement dans des cas de force majeure, ou lors d’une impasse sylvicole pour repartir sur une plantation qui sera conduite en priorité vers la futaie irrégulière.
  • Assurance tempête et incendie en fonction de la maturité du peuplement et des risques stationnaires.
  • Compte CIFA (Compte d’Investissement Forestier et d’Assurance) pour prévenir les risques sanitaires.

 

SOGENIAL IMMOBILIER : la société de gestion

Chiffres clés : 

 

  • 803 millions d’euros d’encours brut sous gestion
  • 40 ans d’expérience de management de fonds immobiliers
  • 9 OPPCI
  • 3 SCPI
  • 4 GF
  • 1 GFI

 

Sogenial Immobilier, gérant du GFI CœurForest, est une société de gestion de portefeuilles indépendante agréée depuis 2012 par l’AMF (N°12000026). Son capital est détenu par des personnes physiques et morales. À ce titre, elle s’appuie sur le savoir-faire et la culture immobilière et financière de ses actionnaires et de ses dirigeants.
Depuis 40 ans, elle est spécialisée dans le management de fonds immobiliers avec 9 OPPCI, 3 SCPI (Cœur de Ville, Cœur de Régions et Cœur d’Europe), 4 GF et 1 GFI, représentant un encours brut de plus de 803 millions d’euros. Ces fonds sont investis en immobilier (bureaux, activités, commerces, forêts) en France et en Europe.

 

Les risques du GFI CoeurForest

Risque lié à la rentabilité et de perte en capital :

 

  • La rentabilité du placement est calculée fonction des revenus potentiels qui seront versés. Ces revenus, non garantis, sont par nature irréguliers et ne sont pas automatiques. Ils dépendent de la maturité des forêts, des programmes de coupes, de la croissance naturelle des peuplements, des baux liés aux forêts et de la conjoncture économique et forestière.
  • Le montant du capital perçu lors du retrait dépend de la production de bois en qualité, en volume et en valeur qui peut connaître d’importantes variations, de même que des cours du bois qui peuvent impacter les revenus d’exploitation. Par ailleurs, l’exploitation forestière est soumise aux aléas climatiques tels que les sécheresses, les incendies, les tempêtes, le gel, la grêle et plus généralement, aux catastrophes naturelles et aux risques phytosanitaires.
  • L’investissement en parts de GFI comporte un risque de perte en capital : le capital investi n’est pas garanti.

 

Risques de liquidité et de blocage des parts : 

 

  • Ce placement est considéré comme peu liquide : les modalités de retrait (vente) des parts de GFI sont liées à l’existence ou non d’une contrepartie. Le GFI ne garantissant ni la revente de vos parts, ni le retrait.
  • Risque de blocage des parts : en cas de blocage des retraits, les cessions de parts pourront être réalisées sur le marché secondaire, lors de la confrontation périodique des ordres d’achat et de vente des parts du GFI, par substitution du régime juridique de capital variable par celui de capital fixe. L’attention des souscripteurs est également attirée sur le fait que, en contrepartie de réductions d’impôts, les montants investis sont, selon les cas, soumis à une contrainte de durée de détention des parts.

 

Risque lié à l’endettement : 

Le GFI peut recourir à l’endettement à hauteur de 30% maximum de la dernière valeur de réalisation approuvée par l’Assemblée Générale, multipliée par le nombre de parts au capital existant pour financer ses investissements. Dès lors, le montant du capital qui sera perçu lors du retrait des parts ou, le cas échéant, lors de la liquidation de la Société, sera subordonné au remboursement préalable de l’emprunt contracté par le GFI.

 

Risques de durabilité :

La stratégie d’investissement du GFI n’intègre pas de facteurs de durabilité. Compte tenu de sa nature, le GFI intègre des facteurs environnementaux spécifiques à la gestion de forêts.
Les principales incidences négatives des investissements sur les facteurs de durabilité (les «PAI») ont été prises en compte par la société de gestion concernant le respect des exigences, notamment environnementales, spécifiques à la réglementation relative aux forêts.

Le GFI CoeurForest : un investissement utile et responsable !

  • Protection et gestion raisonnée : en ne prélevant pas davantage que ce que la nature peut nous donner et en respectant le rythme et la croissance biologique du bois. Cette gestion raisonnée passe également par une diversification des forêts qui seront acquises par le GFI, tant géographique qu’en termes d’essences, de peuplements ou de maturités.
  • Optimiser la séquestration de CO2 en forêt : notamment via la plantation de parcelles non boisées et le reboisement d’autres parcelles.
  • Favoriser la biodiversité : notamment en diversifiant les essences et en maintenant les micros-habitats.
  • Rendre plus accessible la propriété forestière : en permettant la souscription de parts à partir de 1 000 € (soit 5 parts), le GFI offre au plus grand nombre la possibilité d’investir en forêt. C’est un moyen de partager la sensibilisation à la protection de la forêt.
  • Anticiper les défis à venir : en épaulant l’action de CœurForest par un conseil scientifique qui a été mis en place par le Conseil de Surveillance et dont le rôle est d’orienter les réflexions sur les tendances et défis à long terme concernant la forêt.
  • Promouvoir l’utilité sociétale de la forêt au travers de la préservation des emplois locaux, avec un recours privilégié aux acteurs de proximité de la filière bois : gestionnaires, planteurs, bûcherons, débardeurs, transporteurs, scieries, etc.
  • Prendre part à la pédagogie de la forêt : à travers la production de contenu ou des sorties éducatives en forêts
    visant à diffuser la connaissance forestière au plus grand nombre.
  • Promouvoir la reconnexion de l’Homme à la forêt : en mettant en exergue les services essentiels que nous rend la forêt ou encore les vertus thérapeutiques pour chacun d’entre nous.

 

AVERTISSEMENT
Les performances passées ne permettent pas de déterminer les performances futures qui ne sont ni constantes ni régulières. L’investissement dans des parts du GFI comporte notamment un risque de perte en capital, celui-ci n’étant pas garanti.
La fiscalité décrite est susceptible d’être modifiée ultérieurement et le traitement fiscal d’un associé dépend de sa situation individuelle,
Tous les placements comportent des risques : ils sont détaillés dans ce document.

La rentabilité de ce placement est fonction des dividendes potentiels versés. Ils proviennent pour l’essentiel des coupes de bois et dépendent du programme de gestion mis en place, de la maturité des forêts et de leur croissance biologique, du marché du bois et de la conjoncture économique.